Poèmes

-Maintenant que tu fais partie de la famille, je vais t'énoncer deux règles. Ne jamais dire une même phrase à deux femmes diffrentes, ne jamais garder des trace de ce que tu ecris afin de t'en laisser le plus beau souvenir possible. Toutes ces belles phrases ne servent qu'à faire la joie de ton interlucuteur, il n'en ferra rarement la tienne.
Que ces quelques mots régise notre code d'honneur, il est important de pas les enfreindres

-Très bien cher maitre, je serais votre disciple comme l'arbre à besoin d'un tuteur pour s'elever.

-L'arbre a besoin des autres arbres pour s'élever, se sont les forets. Moi je n'ai pas eu le bonneur de grandir parmsi eux, j'ai grandis au bord de la rivière avec pour seul compagnons mes aïeux et les bêtes sauvages, c'est ce qui me donne cette forme bizzard, mais toi profite de tout, de cette fort, repère tous les trous de lumiere, toute les combines et agis pour un maximum de pureté, de generosité et d'amour !

-Ainsi fut ta parole, pleine de sagesse soit elle, qui fut receuilli à mon oreille, et par la grâce des dieux je t'en ferai honneur.
Que cette arbre si minuscule soit il, devienne un manifique centenaire, que ce sol, si pauvre, devienne enrichissant, et que par la volonté divine, le soleil ne cesse jamais de nous éclairer

-Non, tu es jeune et plein de volonté, mais ne soit pas ce chène multi-centenaire que tout le monde connait sous les moindres coutures, mais soit un arbre plus frèle, que tout le monde connait mais que personne n'a jamais vu, pour que tu puisse toujours surprendre les rares personnes qui décide de poser leur regard sur tes charmes
Ne te recule pas au fin fond d'une forêt dense et noire pour te protèger des haches, mais expose toi dans une forêt pleine de lumière même si cela dois te couter la vie, car ta vie doit être courte mais intense, comme tes vers et tes douces melodies, et sache que même mort tu doi toujours servir. Un arbre mort sert à chauffer un maison, ton âme doit rechauffer les coeurs et peu à peu doit être oubliée et laisser place au prochain !


Extrait des Méditations philosophiques sur MSN, Cédric et Kévin.

Un jour, me promenant au bord du lac, je rencontrais mon ami de toujours Cédric. Nous entreprimes de faire le tour tout en nous racontant les problèmes de la vie.

-Comment va tu mon ami ?

-Ma foi on fait aller et toi même ?

- Plutôt bien.. dis donc tu as l'air de ne pas bien t'entendre avec ton ex ?

-A toi je me confesse.. je crois que je l'ai fait pleurer, elle m'as dit :
"Je suis plus fragile que tu ne le crois "

-La pauvre ! Quel ignoble homme au coeur de pierre se cache derière l'aimable cédric ?

-Derière moi se trouve un homme qui a trop souffert, trop pardonné, et elle, elle a prit pour toute les autres auquelle j'ai rien dis. Ignoble, je ne le pense pas, surtout con. Et elle, elle a bien mis "Mon pti bardon tu es trop naïf"

-Je ne connais pas le pourquoi du comment tu en es arrivé la, sache juste qu'une femme ça se respecte, on crache pas dessus on était bien content avant. Après y'a certain cas, ceux qui se foutent de nous, les salopes et autres qui eux nous crachent dessus parce qu'on les a largué, alors a ceux la je leur dit : peace ma veille, va te faire tronché et on en parle plus !

-Alors kev de toi a moi, ça fai 2ans qu'on se connais, tu ma deja vu m'engeuler avec quelqu'un ? Tu ma deja vu me bastonner ? Tu ma deja vu parler sur le dos de quelqu'un, de faire courrire des bruit de chiotte ?!

-Non Cédric, et c'est tout a ton honneur, tu es un homme respectable, un homme bien, et maintenant que l'affaire est venue à mes oreilles je modifie mon jugement .La meilleur facon de reagir est de lui prouver le contraire, oublie la, ne repond plus à ses provocations car tu lui donne raison et tu lui montre que quoi qu'il se passe tu pense à elle, pas forcement en bien, mais tu le fait
Alors pars le coeur leger et oublie les imprévus de la vie, passe ton chemin et ne te retourne point, car en repondant aux provocations tu fait plaisir a celui qui les fait et d'une certaines manière elle est gagnante sur le coup.

Ainsi s'acheva la promenade autout du lac et tout deux nous primes le chemin du temple.


Extrait de "La philosophie moderne" par Cédric et Kévin