Et le combat commenca enfin ! Je m'éfforcais de garder à l'esprit tout ce que les leçons et l'experience m'avait enseignés jusqu'alors, tout en prennant garde à ne pas perdre ne serais qu'une infime partie de ma concentration qui en cet instant était totale !
Mon adversaire, plus puissant que jamais, tentait à de nombreuses reprises de profiter d'une ouverture qui, grace aux dieux, ne venait pas !
Et le combat n'était alors que feintes, attaques éclaires parées ou esquivées , et acrobaties en tout genre.
Apres une vingtaine de minutes, la fatigue commencait à me gagner et ma lame semblait peser au moins quinze kilos de plus ! Pourtant, mon opposant continuait à faire preuve d'une agilité déconcertante, et ses membres ne semblaient pas souffrir car il continuait d'executer à la perfection sa danse macabre.
Cette pensée embrouilla mon esprit l'espace d'un dizieme de senconde.
L'instant d'apres, mes mains serraient le vide, et mes oreilles distinguaient le son du fer qui rebondisait sur un sol en pierre. Le temps était alors comme ralenti, je pouvais assimiler chaque mouvement, chaque bruits, chaque odeurs, et une éternité séparait l'instant present de celui où une horrible frontiere de fer et de sang viendrait separer mon buste en deux ...
métaphorisation d'un cours de math, " L'inevitable décrochage " par neo_3